Le monde du cinéma est en ébullition depuis l’affaire Gérard Depardieu et cela fait couler beaucoup d’encre. Cette fois, c’est au tour d’Alexandra Lamy et Anny Duperey, deux actrices de renom, de confronter leurs opinions. Si vous n’êtes pas encore au courant, voici un résumé de cet échange qui a secoué la sphère médiatique.
Anny Duperey, une figure éminente du cinéma français, a récemment exprimé son désaccord concernant les plaintes tardives pour violences sexuelles dans l’industrie du divertissement. Elle a même qualifié ce phénomène de « chasse aux sorcières tardive ». Really ?! Mais voilà, Alexandra Lamy, une autre actrice bien connue, n’a pas tardé à réagir avec fermeté. Ce ne sont pas des sorcières, ce sont des violeurs a t-elle écrit sur son compte X (ex Twitter).
Dans une série de messages publiés sur les réseaux sociaux, Alexandra Lamy a réfuté les propos d’Anny Duperey, soulignant que ces femmes n’étaient pas des sorcières mais des victimes de violences sexuelles. Elle a vigoureusement défendu leur droit de parler, même si cela se fait tardivement. Un message puissant qui résonne avec force dans le contexte actuel de lutte contre les violences faites aux femmes.
« Personne ne se risquait à s’attaquer à moi, je n’avais pas le profil de la victime », avait déclaré Anny Duperey.
Lamy a également réagi à cette déclaration, soulignant que toutes les victimes méritent d’être entendues, peu importe leur statut ou leur expérience. Une prise de position courageuse qui a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux.
Pendant ce temps, Anny Duperey a tenté d’apporter une nuance à ses propos en exprimant ses inquiétudes quant à la condamnation des œuvres d’artistes accusés de violences sexuelles. Cependant, ses remarques ont été largement critiquées par ceux qui estiment que les crimes ne devraient pas être excusés au nom du talent artistique.
En fin de compte, cet échange entre deux actrices illustres met en lumière les tensions persistantes autour des questions de genre et de justice dans l’industrie du divertissement. Il nous rappelle également l’importance de soutenir les survivants de violences sexuelles et de reconnaître leur courage pour parler de leurs expériences, même face à l’adversité.